Très jolie série du traquet, notamment la 43 pour l'oeil. Je ne pense pas que le cerf en velours de la 37 soit un daguet, car ceux-ci n'ont pas encore perdu début mai. Les paysages sont vraiment somptueux.

Effectivement.

François

Tes images rendent bien l'apretė de ces terres de l'Aubrac, François, pas encore totalement adoucies par la complète floraison de la végétation Et bravo aussi pour le traquet motteux dans ce bel environnement . Ses compatriotes bretons t'attendent donc désormais, en début d'automne et au printemps, lors de tes séjours à Crozon et alentours, dans les landes, les rochers et les champs. Tu verras qu'ils (et d'autres) te donneront une raison supplémentaire d'apprécier ces paysages et ces lumières.
En attendant, profites bien de ces biotopes aveyronnais!

Je pense que pendant ma retraite, l'Aubrac aura droit à ma visite. Ca m'a l'air d'être un joli endroit

Les PDS surpris, mon œil ouai...........ils ronflaient oui

Sinon, une belle série de paysage ainsi que le traquet !

Concentration maximale dans l'affût...la série du traquet dans les fleurs est du plus bel effet. Le cerf de la 37 n'est clairement pas un daguet

Alain

J'aime particulièrement la série de Dominique avec notamment une belle
rencontre avec le Coucou et une superbe image en 35
La dernière série de François est aussi superbe avec ce Traquet motteux dans son milieu

Sympas ces rencontres entre copains autour d'un sujet de passion. Rien que pour çà, félicitations à vous trois

Je ne comprends pas pourquoi vous n'utilisez pas de tente affût. C'est quand même bien plus confortable, on peut bouger comme on veut, on est bien mieux caché et en plus on est à l'abri du vent, du froid et d'éventuelles averses. Petit détail, mais peut-être pas pour ces bestioles, les odeurs circulent moins.

Je me permets de répondre à la place de François .
C'est un problème de condition physique: après un réveil à 4h15 du mat. 1h de route, 3/4 à 1h de montée à pied difficile, dans des conditions de marche compliquées, passages parfois de nombreuses clôtures en fil de fer barbelés ,de murets en pierre, de zones marécageuses avec le sac à dos ,et le poids du matériel photo de fringues supplémentaires que l'on enfilera en arrivant, car même avec le froid on sue pendant la montée, si en plus tu dois transporter la tente affût, cela peut être compliqué pour des gens qui ont à la louche entre 71 et 74 ans ,sachant que l'on ne peut pas laisser le matos en place pour la fois suivante car François évite de retourner sur le même lieu plusieurs fois de suite et puis change son "plan de bataille selon l'orientation du vent le lendemain .
J'espère avoir répondu à ta remarque tout à fait justifiée, mais...... Tu verras dans 10 ans
Dom

J'ajoute que pour mon cas particulier , la condition physique est celle d'un homme de 73 ans et qui ne pèse que 61 kgs.
La question de Robert est pourtant logique et elle l'est d'ailleurs tellement que j'ai fait dans le passé plusieurs tentatives avec une tente-affût, mais j'en suis à chaque fois revenu déçu pour l'une ou l'autre des raisons suivantes :
- poids excessif pour mes moyens physiques ( c'est la raison essentielle ).
- angle de vision trop limité.
- difficile de l'installer en fin de nuit ( parce que les animaux sont déjà dans les environs et parce qu'il est alors difficile de procéder au complément de camouflage naturel indispensable ).
- difficile de l'enlever en début de nuit ( parce que les animaux sont encore là et qu'il est très difficile de l'enlever et repartir sans les alerter, ce qui pourtant doit être un but pour favoriser les affûts futurs en ce lieu ).
- la laisser sur place pendant quelques jours n'aurait qu'un intérêt très limité : y revenir ces jours-là supposerait le maintien du vent dans la même direction, mais surtout cela augmenterait le risque de dérangement des animaux et donc pénaliserait les affûts futurs en ce lieu. En effet : l'avantage d'une moindre diffusion de l'odeur est très limité . D'une part parce que la tente est loin d'être étanche mais surtout parce qu'après votre départ elle continue à lentement diffuser votre odeur ( Pensez à une chambre où votre odeur s'accumule malgré la porte entrouverte pendant votre sommeil nocturne et qui le matin "sent le fauve". Si vous n'ouvrez pas la fenêtre pour aérer, cette "odeur de fauve" finira par lentement se dissiper dans la journée en s'échappant par la porte entrouverte ). Votre absence ne signifie donc pas absence de dérangement car les bêtes circulent dans le coin et la probabilité est élevée qu'elles détectent une anomalie dans cette zone.
- il faudrait donc l'installer en journée et l'enlever en journée le lendemain : c'est contraignant.

François

Bravo à l'indien François capable d'une approche jusqu'à nous (qui ne dormions pas) sans que l'on décèle le moindre bruit
La qualité de tes photos de paysage est excellente .
Et ton traquet motteux 43 est magnifique dans son environnement de roc et qui met en valeur la richesse florale de cette région à cette saison .Je suis vraiment tombé amoureux de ces paysages et des rencontres que l'on a pu y faire .
Tu nous a beaucoup donné ,j'espère qu'en échange (entre autres ) on t'aura un peu mieux fait découvrir le plaisir de l'observation des oiseaux .
Superbe post
Dom

Merci à vous , Jacques , Michel , Luna , Christophe , Joëlle , Alain(49) , Alain(BB) , MERLE , Robert et Dominique.

François

A mon tour de prendre le relai après notre G.O. (Gentil Organisateur !!!)

Les consignes sont claires, ma production des jours 2 et 3 mai.

Comme l’ami François se met aux oiseaux, je vais surtout me focaliser sur les cervidés de ces deux journées, nécessairement les mêmes que les autres PDS (eh oui François a été intronisé, un PDS de plus, va bientôt falloir penser à organiser l’Assemblée Générale !)

Le 2 mai après midi, en route pour l’affût dans cette magnifique forêt de l’Aubrac aveyronnais. Quelques moments d’occupation avec la grive draine qui devait avoir son nid dans le quartier. Et alors que le soleil commence à baisser, notre jeune cerf avec ses pivots et très peu de pousses pour l’instant, fait son apparition au bout de la clairière. J’ai eu la chance de pouvoir le capter la tête en l’air sans avoir fait psttt pour lui faire lever. Comme le dit François, il était très paisible, dommage pour la distance.







Le matin du 3 mai, ballade avec Dom pendant que François explore les environs de la rivière. On avait besoin de se dégourdir les pattes après et avant 4/5 heures d’affût pliés. Dur dur pour les grandes bêtes que nous sommes. On y reviendra pour les piafs, il y en a quelques uns et on va essayer d’en faire profiter François.

Le paysage grandiose autour de notre gîte.



L’affût de l’après midi fut incontestablement notre meilleur. Nous avons eu un peu d’animation et plusieurs SMS de François (Biche à 13h…)
Le cadre était super, rocher, genêts, broussailles …
Et surtout une bonne proximité alors que la luminosité était encore très bonne. Un vrai régal, merci François.
La première biche est passée plus loin et les lumières étaient encore bien dures, par contre la deuxième, déjà présentée par Dominique, est restée un peu de temps juste devant nous, un pur bonheur !



Et puis deux jeunes d’an dernier nous sont passés à moins de 20 mètres, calmes !









Cette dernière est restée au bord de la forêt, assez loin, mais la lumière restée sympa



Je ne résiste pas à vous en remettre une du Coucou, pas souvent qu’on la chance de le capter



Et je termine par les PDS vauclusien, photo prise lors de la balade du matin au retardateur.



Je repasse la main à Dominique pour la suite.

A bientôt

Dommage que le feuillage "brûlé"ne mette pas en valeur le cerf des deux premières photos, la suite est superbe avec une lumière sourde qui va bien. On retrouve un Dominique avec le sourire!

Un plus pour les 50, 54 et 56

Chouette série, un bon moment! Je retiendrais la 54.

Gilles